Des écuries napoléoniennes, il ne reste rien que le souvenir. Entièrement réhabilitées, elles abritent désormais le restaurant de Céline Aegerter-Lamberti où officie Benjamin Tur, un tout jeune chef. Aux beaux jours, la terrasse accueille jusqu’à 90 convives (habitués du club hippique et visiteurs extérieurs) pour des déjeuners et des dîners aux allures de barbecues dominicaux en famille. Dans son four catalan Josper, Benjamin Tur travaille aussi bien les légumes que les viandes et les poissons. Ici, tout est fait maison, de l’entrée au dessert, et si les assiettes sont dépareillées, c’est par goût de la simplicité. Un peu comme à la maison.